Salut les tubas,
Après une matinée snorkling (ça veut dire regarder les poissons avec un tuba) on taille la route et la bavette en direction de Kuta.
A trente mètres du bungalow, dans l'eau, une faune incroyable de poissons et une flore incroyable de coraux s'étend sous nos pieds.
Gégé qui a plongé un peu en France dit en découvrant ça que "la plongée en France ne sera plus jamais la même".
Sans équipement autre qu'un masque et un tuba, on peut parler à Némo et voir un max de trucs comme sur Arte.
Après un long trajet en bagnole jusqu'à Kuta (plage touristique de Bali, proche de Denpasar la grosse ville de l'île) et un arrêt déjeuner à Padang Bai, on arrive à l'hotel.
Nous resterons ici qu'une nuit avant de partir pour Gili Air, petite île paumée proche de Lombok (autre grosse île indonésienne).
Il faut dormir, demain debout 6h.
En tout cas c'est ce qui était prévu à la base.
Mais seulement comme j'aime bien pimenter un peu le voyage, j'ai oublié mon appareil photo dans la voiture de location que nous venons de rendre.
Je trouvais ça plus drôle.
Coco, qui avait trouvé la voiture à la base, passe des coups de fil au loueur. Anglais approximatif (pour lui) et stress (pour nous) la communication est complexe.
Il faut qu'on aille chez le guide que Coco et Shay avait trouvé avant notre arrivée. On part donc pour le retrouver. Sous des trombes d'eau.
Finalement on arrive chez lui, une demi douzaine de rasta men sont là, mon appareil aussi. Ca y est je respire à nouveau.
On se retrouve donc chez le guide, Lenny, qui a l'appareil par on ne sait quel miracle. Guitare, djembé et bière. On fait redescendre la pression en en buvant quelques unes.
Puis on rentre, faire ce qu'on avait décidé à la base : dormir. Sous des trombes d'eau monstrueuses. La saison des pluies est finie, soit disant...
Soyez bons.