Salut le béton,
De la petite bourgade de Taxco nous partons en bus vers Acapulco.
Il y a des noms comme ça qui font rêver... Acapulco... Pulco... Pulco citron...
Bref.
Quelques heures après nous arrivons à Acapulco.
Pollutions, embouteillages, bâtiments décrépis et chaleur moite de dingue.
Le rêve prend fin.
Notre hôtel est situé près du Zòcalo, la place du centre historique. En fait chaque ville mexicaine possède sa Zòcalo.
On mange puis on va faire un tour, mais la chaleur et l'humidité n'aide pas.
On rentre et on dort.
Le lendemain matin, même si on y a cru très fort, ni la pollution, ni les embouteillages, ni les gros immeubles en béton n'ont disparu.
Nous avons la journée pour visiter... alors on visite.
C'est sûr l'eau est turquoise et il fait beau. Ca oui.
Mais la ville (qui se résume à un bord de mer, le reste étant limite bidon-ville) semble être une station balnéaire d'il y a 30 ans.
Un genre de Grande Motte qui tomberait en ruine...
Acapulco devient Cacapulco.
Vers minuit décollage du bus qui roule vers Oaxaca et de nouvelles aventures.
salut les citrons.
RépondreSupprimerdites moi là j'ai un doute. La lumière on dit bien la luz, c'est un peu la louzepoulco alors....
et oui il y a des journées qui sont longues....