samedi 30 octobre 2010
La Union
Ushuaïa last day
Parque Tierra del Fuego
Road trip Tierra del Fuego
mercredi 27 octobre 2010
Mais pourquoi ?
Ush ush
Vers l'infini et au delà
Il faut partir monsieur
Bigger than life
Grey
Salut le lac,
Une bonne nuit même pas froide et sans pluie.
Chance.
Pliage de tente et des sacs pour partir vers le lac Pehoe que nous traversons en catamaran après un tour aux cascades Salto Grande.
Le soleil joue à cache cache avec les nuages, faisant varié les bleus du lac, qui sont fous dingues.
Une fois arrivés, direction le lac et le glacier Grey.
C'est pas le Perito Moreno, certes, mais la vache, on se prend quand même une énorme claque.
Le lac est peuplé d'icebergs bleus et au loin on aperçoit les 3 langues du glacier immense.
Un vent à décorner les boeufs et de gros nuages mais on reste bouche bée.
Une fois la tente montée, on monte voir le monstre de plus près et on s'assoit face à l'immensité glacée.
Bigre !
Il fait un temps clément aux dires des locaux et pour nous punir d'avoir cette chance, le glacier se sépare d'un énorme bloc... juste quand on tourne le dos...
Ma foi !
Une bonne bière au coin du feu, du riz et on file se coucher.
Toto del Papa
Salut la France,
Un peu avant que le soleil ne se lève, on enfile les vêtements qu'on ne quittera plus pendant 3 jours.
D'où l'importance de bien les choisir.
Pour sûr Arthur.
On roupille dans le bus pendant la centaine de kilomètres qui nous sépare du parc Torres del Paine.
Une fois délester du prix d'entrée faramineux pour les étrangers, changement de bus et passage au camping.
Il faut poser le gros sac avec les duvets, la tente et tout le matos pour camper pour partir vers les fameuses Torres (tours en français).
Nous cheminons sous une fluie pine alternée avec quelques rayons de soleil jusqu'à un refuge où nous mangeons au coin du feu.
Puis arrivent les Torres, après une vilaine montée pleine de pente, de cailloux et de neige.
Un lac bleu, les trois tours immenses, des montagnes, du silence et de la neige.
Classe. Ca valait le coup de monter.
On redescend, on plante la tente, on mange du riz au coin du feu et on dort.
vendredi 22 octobre 2010
Puerto Natales
jeudi 21 octobre 2010
Glaciar Perito Moerno
Salut la nature folle,
Eduardo, propriétaire de l'hostel et conducteur du mini-bus qui nous emmène dans le Parc National des Glaciers, est un chic type.
L'hostel est pas cher du tout (pas évident dans ces villes spéciales pigeons) et il explique pleins de choses qui sont intéressantes.
Nous arrivons sur place et là c'est LA CLAQUE.
Pas d'autres mots, pas d'autres détails, UNE CLAQUE.
Quelques faits pour vous faire imaginer le machin : 5 kilomètres de large, 170 mètres de haut (dont 80 sous l'eau du Lago Argentino), c'est le glacier le mieux visible au monde et dernier point, c'est un des seuls glaciers au monde qui grossit autant qu'il fond (et qui avance à raison de 2 mètres par jour).
Un réseau de plusieurs kilomètres de passerelles permet de l'observer sous toutes ses coutures et de voir d'énormes blocs de glaces se détacher et tomber avec un bruit incroyable dans l'eau qui l'entoure.
Puissant.
Les couleurs sont indescriptibles et malgré le "jour blanc" (brouillard et neige) la beauté coupe littéralement le souffle.
C'est, pour ma part, la plus belle création de la nature que j'ai jamais vu.
Après moi-même dans une glace et Louise.
On marche sous la neige et on s'époustoufle devant le spectacle splendide du lieu.
DINGUE.
Après un rapide déjeuner nous prenons le bateau sur le Lago Argentino pour s'approcher de la bête, encore plus impressionnant.
On sent la puissance du glacier et le soleil qui arrive finalement à percer rend les bleus encore plus fous.
Souvenir impérissable qui vaut son pesant de cacahuètes.
Inoubliable.
On rentre, on mange et on dort pour compenser les deux "nuits" du bus précédent.
Demain direction Puerto Natales pour ce qui devrait être le dernier passage au Chili, au programme le Parc Torres del Paine.
Big time.
Ruta 40
Salut la route,
En partant de Bariloche, c'est pour battre un record que nous montons dans le bus.
36 heures directement vers El Calafate par la mythique Ruta 40.
C'est un peu la Route 66 sauce Argentine, longue de 5224 kilomètres et atteignant plus de 5000 mètres d'altitude à son point culminant.
Notre déception sera rude lorsque le chauffeur annonce 2h de pause à Perito Moreno (le village, pas le glacier) mettant ainsi fin à la tentative.
Surtout que les 2h se transforment vite en plus de 3, laissant le record à la Chine et ses 27h de train sans arrêt entre Canton et Xi'an.
Ils sont forts ces Chinois.
Aux alentours de 5h deux jours plus tard nous descendons claqués à El Calafate, ville touristique par excellence, non loin sévit le Glacier Perito Moreno.
On trouve un hostel, on réveille le "veilleur" et on petit-déjeune.
Départ prévu à 9h30 pour le glacier à une cinquantaine de kilomètres de là.
dimanche 17 octobre 2010
Parque Nacional
Salut vieux,
Soleil radieux et pas un pet de vent.
On peut dire qu'on a de la chance sur Chiloé qui déconne pas niveau pluie aux dires de tout le monde.
Petit déjeuner magique face au lac que rien ne trouble, dans lequel se reflète les nuages et le soleil.
Uh !
Départ pour le Parc National de Chiloé, déserté par les touristes comme tout le reste de l'île d'ailleurs.
La saison c'est plus tard et on le sent bien !
Deux ballades dans la nature et nos pieds font floc floc. Humide.
Paysages magnifiques et ambiance zen.
Classe.
Déjeuner sur une place déserte (juste un vieux qui fait semblant de balayer sa cour pour nous observer) et on remonte vers le nord de l'île à Ancud.
Comme on dit "tu pars Ancud".
T'as compris ?
Après une glace au soleil on trouve un camping sur une falaise qui domine la mer et on mange face au coucher de soleil.
Frais.