dimanche 17 octobre 2010

Chez Castro y'a tout ce qu'il faut...

Salut le gris,


Une fois la tente pliée et prêts à partir, on va partager un dernier maté avec le proprio de la maison.

Il est pêcheur l'été, un peu guide pour touristes aussi et il a l'air si triste quand il parle des traditions de moins en moins respectées sur l'île.

Le temps se couvre salement et on se renseigne pour savoir s'il faut sortir les capes de pluie.

"- Vous pensez qu'il va faire beau ces prochains jours ?

 - Quand le vent vient du nord, il pleut. Quand il vient du sud, il fait beau.

 - Ah d'accord et là c'est plutôt nord alors...

 - Non, non, c'est sud là !"

Nous partons pour Dalcahue et sa grande église toute en bois puis direction l'île de Quinchao avec un bac.

Ici c'est le coin des fruits de mer et des huîtres. Et comme de par hasard il est l'heure de l'apéro.

C'est quand même bien fait, hein, Rrrrrémy !

On passe par Curaco puis Achao (bonsoir... t'as compris ? ® Virginie Giachino) et on se tape une dizaine d'huîtres énormes (au fromage, finesse Chilienne...).

Petit vin blanc et vue sur le port pour ne rien gâcher.

Pour la suite entres petits villages paisibles et routes magnifiques, nous arrivons vite à Cucao pour dormir.

Dans le camping, sur les rives du lac, entourés de moutons, on se réchauffe auprès du feu de merde de bois mouillé et on s'endort peinard sous notre tente.


devant la tente le soir

campement

Castro de loin

pilotis 

église en bois

huîtres au parmesan qu'ils disaient...

John Wayne version latine

Sebastiaaaaan

coquillages

Castro en pano

Soyez bons.

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