Salut les Jap,
Changer de pays c'est un peu changer de maison.
Changer de règles, de repères, d'habitudes, de monnaie et aussi bien sûr de langue.
Parfois le changement ne se ressent pas. Exemple entre l'Inde et le Népal. Le petit n'ayant pas assez de force pour s'affranchir du grand.
Je laisse aux fins tacticiens de la géopolitique que vous êtes le soin de retrouver qui est le grand et qui est le petit.
Parfois le changement prend la forme d'une claque, dans le bon ou le mauvais sens. Exemple entre l'Afrique du Sud et Hong Kong.
Cette fois c'est le Japon, qui termine l'ère que l'on appelle désormais "riz poulet" et commence celle des pays riches.
Un pays de transition finalement.
Nous arrivons donc à Tokyo Narita en milieu d'après-midi, après une nuit pourrie dans l'aéroport de Hong Kong, qui n'a été qu'un long orage bruyant.
Il nous faut : trouver un hôtel, trouver un moyen de transport entre les trois villes que nous voulons voir (Tokyo, Kyoto et Hiroshima) et apprivoiser le contexte.
Une petite heure et quelques dizaines d'euros en moins, nous voilà fin prêts.
L'hôtel dans lequel nous avons posé les sacs est simple, la chambre petite mais pas chère et dans un quartier calme (pas très loin d'Ueno). Alors ça va.
Il faut dormir, demain on visite la plus grande ville du monde (je vous juuuuure 37 millions de personnes) !
Changer de pays soit, changer de maison à la limite, mais pourquoi changer de typographie tout le temps ? hein ?
RépondreSupprimerBon je crois (de bois) que c'est parce que tu fais des copier-coller de ton ordi à ton blog, parce que visiblement les commentaires des photos sont nikel et ta signature "be good" (iiiiii) est bonne (à tout faire) aussi !